actualités2025-05-30T09:48:39+02:00

Actualités

28/03/2017

Le robot remplacera-t-il les avocats ? – L’Avenir

28/03/2017|Tags : , , , , |

Ce same­di, c’était la ren­trée du Bar­reau de Ver­viers. Me Geof­frey Deliège a livré un dis­cours inter­pel­lant, auquel le Bâton­nier Pierre Hen­ry a répliqué.

Lire l’ar­ticle d’É­lo­die CHRISTOPHE :

Le robot remplacera-t-il les avocats ? – L’Avenir

« Ceci est une révolution (artificielle) », Discours de Rentrée, Verviers, 2017

27/03/2017|Tags : , , , , |

Dis­cours pro­non­cé lors de la séance solen­nelle de Ren­trée du Bar­reau de Ver­viers le 25 mars 2017 par Me Geof­frey DELIÉGE.

Ceci est une révolution (artificielle)

Mes­dames, Mes­sieurs en vos titres et qualités,

Chers confrères,

Chère Famille, chères amies, chers amis,

Mer­ci beau­coup d’être venus.

Mer­ci car tous ensemble aujourd’hui, nous allons vivre un ins­tant qui va mar­quer l’histoire.

(suite…)

24/03/2017. « Terrorisme, libertés & sécurité » : le colloque du Barreau de Verviers ‑Télévesdre

23/03/2017|Tags : , , |

Ce ven­dre­di, l’Association des bar­reaux jume­lés de Ver­viers et de Ver­sailles (France), et la Com­mis­sion des Liber­tés du bar­reau de Liège orga­nise un col­loque à la salle Le Trem­plin à Dison. Il sera sui­vi de la repré­sen­ta­tion de la pièce « Dji­had » d’Ismaël Sai­di. L’occasion de poser un regard et d’engager la réflexion sur le ter­ro­risme, les liber­tés et la sécurité.

(suite…)

23/02/2017

La confiscation des outils du délit ne doit pas être automatique, selon la Cour constitutionnelle.

13/02/2017|Tags : , |

Sur la ques­tion pré­ju­di­cielle rela­tive à l’article 43 du Code pénal, posée par le Tri­bu­nal cor­rec­tion­nel de Liège, divi­sion Liège, la Cour constitutionnelle :

  • a déci­dé que l’article 43, ali­néa 1er, du Code pénal viole les articles 10 et 11 de la Consti­tu­tion, lus en com­bi­nai­son avec l’article 1er du Pre­mier Pro­to­cole addi­tion­nel à la Conven­tion euro­péenne des droits de l’homme, mais uni­que­ment en ce qu’il oblige le juge à pro­non­cer la confis­ca­tion de la chose qui a ser­vi à com­mettre un crime ou un délit lorsque cette peine porte une atteinte telle à la situa­tion finan­cière de la per­sonne à laquelle elle est infli­gée qu’elle consti­tue une vio­la­tion du droit de propriété.
  • mais main­tient les effets de la dis­po­si­tion en cause pour les affaires dans les­quelles le juge a pro­non­cé la confis­ca­tion de la chose ayant ser­vi à com­mettre un crime ou un délit et qui ont déjà fait l’objet d’une déci­sion défi­ni­tive à la date de la publi­ca­tion du pré­sent arrêt au Moni­teur belge.
En consi­dé­rant principalement :
B.11. La confis­ca­tion spé­ciale d’une chose qui a ser­vi à com­mettre un crime ou un délit et dont le condam­né est pro­prié­taire, pro­non­cée en appli­ca­tion de l’article 43, ali­néa 1er, du
Code pénal, n’est pas en soi incom­pa­tible avec le droit au res­pect des biens garan­ti par l’article 1er du Pre­mier Pro­to­cole addi­tion­nel à la Conven­tion euro­péenne des droits de l’homme.
B.12. Elle peut cepen­dant, dans cer­tains cas, por­ter une atteinte telle à la situa­tion finan­cière de la per­sonne à laquelle elle est infli­gée qu’elle consti­tue alors une mesure dis­pro­por­tion­née par rap­port au but légi­time qu’elle pour­suit, entraî­nant une vio­la­tion du droit de pro­prié­té, garan­ti par cette dis­po­si­tion du droit international.

(suite…)

Justice : la Cour constitutionnelle annule la réforme des droits de rôle – RTBF

13/02/2017|Tags : , , , , |

La Cour consti­tu­tion­nelle a annu­lé jeu­di la réforme des droits de rôle dus lors de l’in­tro­duc­tion d’une affaire devant la jus­tice. Le gou­ver­ne­ment vou­lait lier ceux-ci à la valeur de la demande mais la Cour a jugé le nou­veau dis­po­si­tif contraire aux prin­cipes d’é­ga­li­té et de non-discrimination.

Avant l’en­trée en vigueur de la loi du 28 avril 2015, les droits de rôle étaient liés à la nature de la juri­dic­tion sai­sie du litige. La réforme visait à y ajou­ter le cri­tère de la valeur du litige moyen­nant une excep­tion pour le tri­bu­nal de la famille. Les mon­tants s’é­le­vaient à 40 ou 80 euros devant la jus­tice de paix, de 100 à 500 euros devant le tri­bu­nal de pre­mière ins­tance, jus­qu’à 800 ou 1.200 euros devant la Cour de cassation.

(suite…)

Aller en haut