Wal­lo­nie

  • L’enfant de l’époux/du coha­bi­tant légal du défunt est assi­mi­lé à l’enfant bio­lo­gique du défunt, tant pour les dona­tions que pour les suc­ces­sions, peu importe que le conjoint ou le coha­bi­tant légal soit encore en vie au moment du décès.
  • Cette assi­mi­la­tion s’applique éga­le­ment à l’enfant que le défunt a éle­vé comme parent d’accueil ou comme tuteur, à la condi­tion que l’enfant, avant d’avoir atteint l’âge de 21 ans et pen­dant 6 années inin­ter­rom­pues, ait reçu exclu­si­ve­ment ou prin­ci­pa­le­ment de cette per­sonne, ou de cette per­sonne et de son époux/cohabitant légal ensemble, les secours et les soins que les enfants reçoivent nor­ma­le­ment de leurs parents.
[…]

Atten­tion, dans tous les cas, le fait que vos beaux-enfants soient assi­mi­lés à vos enfants concer­nant les tarifs de droits de suc­ces­sion ou de dona­tion n’en fait pas pour autant des héri­tiers légaux… Vous devez tou­jours rédi­ger un tes­ta­ment si vous sou­hai­tez que vos beaux-enfants héritent de quelque chose (ils seront ensuite sou­mis au même tarif que vos enfants bio­lo­giques). N’hésitez pas à contac­ter votre notaire pour plus d’informations.

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Familles recomposées : à quelles conditions hériteront mes beaux-enfants ? – Notaire.be