Ega­le­ment audi­tion­né devant la com­mis­sion, le pré­sident d’Avocats.be, Patrik Hen­ry, se montre lui aus­si très cri­tique. « Les débats ont été nour­ris mais il n’en reste rien, se plaint-il. Aucun amen­de­ment, même par­mi les plus évi­dents d’un point de vue tech­nique, n’a été adop­té . »

Et de regret­ter que la nou­velle pro­cé­dure de recou­vre­ment des créances com­mer­ciales incon­tes­tées entre en vigueur telle qu’elle est, « mal­gré ses évi­dents défauts », que la col­lé­gia­li­té ait été sacri­fiée de même que les avis du minis­tère public devant le tri­bu­nal de la famille. « Tout cela pour quelques maigres éco­no­mies », conclut-il.

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