La Cour constitutionnelle a annulé une partie de la législation sur l’enquête pénale d’exécution (EPE). Sont principalement visés, les pouvoirs du magistrat EPE. La Cour a considéré que la faculté pour le magistrat EPE d’ordonner une “observation à l’égard d’une habitation” dans la procédure de refus d’une demande de consultation du dossier, d’une part, et l’obligation pour le condamné et des tiers de mauvaise foi de collaborer à une recherche dans le système informatique, d’autre part, constituent des violations de la Constitution. La plupart des dispositions des lois du 11 février 2014 visant à introduire l’enquête pénale d’exécution restent donc inchangées. Même si la Cour ajoute ci et là une interprétation.
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