Article 1. Définitions
Pour comprendre et interpréter la présente convention, il faut entendre les termes suivants ainsi :
« le client » : la ou les personne(s) physique(s) ou morale(s) en nom personnel ou en qualité de représentant(s) lég(al/aux) d’une ou d’autre(s) personne(s) que l’avocat conseille ou dont l’avocat défend les intérêts ;
« l’avocat » : la personne désignée en annexe (Geoffrey DELIÉGE, avocat, rue des Prés, 87 – (4802) Verviers) ;
« les parties » : le client et l’avocat ;
« la mission » : toute tâche confiée par le client à l’avocat pour défendre ses intérêts ou pour le représenter ou l’assister en justice ou pour le conseiller ou pour concilier le client avec un tiers ;
« les frais » : frais désignés à l’annexe ;
« les débours » : frais externes payés par l’avocat à des tiers tels que taxes et frais de greffe, d’huissier de justice, de traducteurs, d’experts, etc.
Article 2. Nature des obligations contractuelles
Le contrat-cadre liant l’avocat au client est un contrat de nature spécifique qui doit être considéré comme régi par les règles du mandat à titre onéreux ou, à défaut, du contrat d’entreprise ou, à défaut, est soumis au régime du droit commun des obligations.
Sauf stipulation écrite et expresse contraire, les obligations de l’avocat à l’égard du client sont des obligations de moyen.
Le client donne procuration la plus large à l’avocat pour accomplir sa mission, y compris, entre autres, élire domicile, se faire substituer, compromettre, acquiescer, etc.
L’avocat exerce son mandat en toute indépendance à l’égard du client, dans le respect de son serment et des règles déontologiques.
Article 3. Exécution de la mission
3.A Secret professionnel
Le secret professionnel s’applique à tout avocat intervenant dans les dossiers confiés par le client, ainsi qu’aux collaborateurs et membres du personnel de ces avocats.
L’avocat peut opposer ce secret à tous, y compris au client, ses familiers et ayants-droit ainsi qu’aux autorités judiciaires, mais il pourra le lever en conscience si la loi ou la discipline le permet ou oblige sans commettre de faute ni engager sa responsabilité.
3.B Communication
Sauf refus exprès du client, toute communication pourra être valablement faite au client par courrier électronique avec date certaine au moment de l’envoi.
3.C Faculté de collaboration et de substitution
Sauf disposition contraire spéciale, l’avocat consulté pourra collaborer avec ou se faire substituer par un ou plusieurs autres avocats, associés, collaborateurs ou correspondants afin d’intervenir dans la mission confiée par le client.
3.D Délais
Indépendamment du strict respect des délais légaux et procéduraux, les prestations effectuées par l’avocat le sont dans des délais qu’il donnerait à titre indicatif. Si le client désire un engagement précis sur un délai, il devra le demander expressément et ces délais devront être acceptés expressément et sous seing privé par l’avocat consulté.
3.E Exception d’inexécution
L’avocat peut suspendre de plein droit toute intervention dans quelque dossier que ce soit en cas de retard du client supérieur à quinze jours ou à l’échéance expressément impartie par l’avocat (1) pour le paiement demandé d’une provision ou de frais, honoraires et/ou débours ou (2) pour une réponse du client à une demande de l’avocat utile ou nécessaire au bon accomplissement de sa mission. En pareil cas, la suspension de l’intervention de l’avocat ne pourra entraîner aucune responsabilité dans son chef.
Article 4. Limitation de responsabilité
L’avocat est assuré pour les éventuelles fautes professionnelles qu’il commettrait. Dans les limites de la loi, sa responsabilité sera limitée à un million d’euros par sinistre ou au montant supérieur qui aurait été conclu par l’avocat avec son assureur et applicable au dossier traité par l’avocat. Si le client désirait obtenir une couverture supplémentaire, un accord préalable à toute intervention doit être conclu avec des frais supplémentaires.
En cas de décès ou d’incapacité de l’avocat, le dommage qui en résulterait pour le client ne pourra être réclamé à la succession de l’avocat.
Article 5. Prévention du blanchiment des capitaux et du financement du terrorisme
L’avocat se conforme à ses obligations légales en matière d’identification du client ou de son mandant. Ceux-ci s’engagent à fournir spontanément tous documents permettant l’établissement de leur identité et autorisent l’avocat à en prendre copie. Les obligations de l’avocat et du client découlent plus particulièrement des dispositions de la loi du 18 septembre 2017 relative à la prévention du blanchiment de capitaux et du financement du terrorisme et à la limitation de l’utilisation des espèces (ci-après « la loi contre le blanchiment »). Les renseignements qui doivent être fournis par le client varient selon qu’il s’agit d’une personne physique, d’une personne morale, ou d’un mandataire. Le client informe au plus vite et spontanément l’avocat de toute modification à sa situation et lui apporte la preuve de celle-ci.
Lorsque la nature du dossier (assistance du client dans la préparation ou la réalisation d’opérations telles qu’achat ou vente d’immeubles ou d’entreprises commerciales ; gestion de fonds de titres ou d’autres actifs appartenant aux clients ou à son mandant ; ouverture ou gestion de comptes bancaires, d’épargne ou de portefeuilles ; organisation des apports nécessaire à la constitution, à la gestion ou à la direction de sociétés ; constitution, gestion ou direction de fiducies, de sociétés ou de structures similaires ou interventions au nom et pour compte du client dans toutes transactions financières et immobilières) ou lorsque les situations particulières prévues par la loi contre le blanchiment (pays d’origine, difficultés d’identification, relation inusuelle entre le client et l’avocat ou la nature des opérations, personnalité publique ou assimilée) imposent à l’avocat une obligation de vigilance renforcée, le client s’engage à répondre à toute question de l’avocat lui permettant de se conformer à ses obligations légales en matière de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme.
Lorsque l’avocat assiste le client dans sa défense en justice ou lorsqu’il lui délivre des conseils juridiques (l’évaluation de sa situation juridique), il est tenu au strict respect du secret professionnel.
La loi impose à l’avocat d’informer le bâtonnier dès qu’il constate, hors sa mission de défense en justice ou de consultation juridique, des faits qu’il soupçonne être liés au blanchiment des capitaux ou au financement du terrorisme. Le bâtonnier, garant du respect du secret professionnel transmet le cas échéant la déclaration de soupçon à la C.TIF (Cellule de traitement des informations financières).
L’avocat devra mettre fin à son mandat si le client ne fournit pas les informations voulues soit à la demande de l’avocat, soit spontanément quand la situation du client ou de son ou ses activités change(nt) en cours de mandat.
Article 6. Traitement des données personnelles
Le client marque expressément son consentement pour que l’avocat puisse traiter dans le cadre de la mission les données personnelles (e.a. : nom, prénom, profession, domicile ou résidence, n° de téléphone et de fax, e‑mail, date et lieu de naissance, état civil, n° de registre national et de carte d’identité, n° de compte bancaire, données relatives à son dossier, en ce compris, dans la mesure nécessaire à la gestion du dossier, les données sensibles et relatives à la santé, le cas échéant, sans l’intervention d’un professionnel de la santé, ainsi que relatives à des litiges soumis aux cours et tribunaux, des suspicions, des poursuites et condamnations).
Ces données peuvent être traitées par l’avocat, ses collaborateurs, ainsi que par son secrétariat et son service comptable : (1) dans le cadre de la relation contractuelle des parties en ce compris la vérification du conflit d’intérêts au sein du cabinet ; (2) en vue de l’émission, du recouvrement et de la vérification des factures ; (3) en vue de respecter les obligations découlant de la loi contre le blanchiment. En fournissant à l’avocat ses données personnelles, le client donne l’autorisation expresse de traiter ces informations pour les finalités indiquées ci-dessus. L’autorisation de traiter les données relatives à la santé peut toutefois être retirée à tout moment, mais l’avocat pourra décider alors de mettre fin à sa mission.
Ces données seront utilisées pour ces seules finalités. Elles peuvent être conservées 10 ans après l’achèvement de la mission.
Ces données ne seront transmises à aucun tiers autre qu’un avocat ou un autre intervenant judiciaire dans le cadre de la mission ou de manière accessoire, dans un but strictement documentaire, afin qu’un avocat réutilise le travail intellectuel effectué dans la gestion de votre dossier pour un autre dossier, dans le strict respect de la législation précitée.
Moyennant demande écrite datée et signée et la justification de son identité le client peut obtenir du cabinet, gratuitement s’il s’agit d’un volume raisonnable, la communication écrite des données personnelles le concernant ainsi que, le cas échéant, la rectification de celles qui seraient inexactes, incomplètes ou non pertinentes.
Le client peut également s’adresser à l’Autorité de protection des données pour exercer ces droits. Le Président du Tribunal de première instance connaît de toute demande relative au droit d’obtenir communication, rectification ou suppression de données personnelles, lorsque aucune suite n’a été donnée à la demande dans les 45 jours de ladite demande, ou lorsque la demande a été rejetée. Pour de plus amples informations, contactez l’avocat ou l’Autorité de Protection des données, rue Haute, 139 à B‑1000 Bruxelles (T +32 2 274 48 00 ; contact@apd-gba.be).
Article 7. Frais, débours et honoraires
7.A Frais et débours
Les frais sont tarifés conformément à l’annexe au présent contrat ().
Les débours, s’ils sont avancés par l’avocat, sont tarifés au prix coûtant. Le client reste directement débiteur des débours et garantit l’avocat de toute somme due à des tiers dans le cadre de l’exécution de la mission confiée.
7.B Méthode de tarification des honoraires
7.B.1 Choix de la méthode
Les parties ont déterminé le mode de calcul des honoraires en annexe au présent contrat. Elles déclarent formellement l’accepter et en être satisfaites.
7.B.2 Modification en cours de mission
Si les circonstances le justifient, l’avocat peut proposer au client une autre méthode de tarification en cours de mission. Elle ne s’applique qu’à dater de cette notification et sauf refus du client. En cas de refus et en cas de désaccord, l’avocat pourra décider de cesser son intervention pour ce motif.
7.B.3 Indemnité de procédure
L’avocat a toujours au moins droit au montant de l’indemnité de procédure dans la somme récupérée.
7.B.4 Palmarium ou honoraire de résultat
Si un résultat exceptionnel est atteint par l’avocat, entre autres concernant le montant obtenu, la difficulté de la situation ou la rapidité de l’issue, un complément d’honoraires tenant compte du résultat pourra être réclamé en proportion de l’enjeu du procès.
7.C Paiement des honoraires
Si le client peut bénéficier de l’intervention d’un tiers payant (ex. : assurance protection juridique), le client est invité à présenter à l’avocat la police générale et particulière de tel contrat et de s’en munir dès la première consultation ou de les communiquer dans les plus brefs délais après celle-ci. Au cas où le tiers payant refuse ou limite son intervention, le client est directement tenu des frais et honoraires de l’avocat.
Le client peut demander un état provisionnel en cours de mission mais avec au moins un intervalle d’un mois entre chaque état.
Les paiements doivent être effectués dans les quinze jours de l’envoi de la demande de provision ou de l’état de frais et honoraires. Passé un délai de trente jours, l’avocat pourra réclamer les intérêts de retard.
La loi du 2 août 2002 concernant la lutte contre le retard de paiement et ses arrêtés royaux d’application sont rendus applicables au client par cette convention s’il s’agit d’un consommateur.
L’avocat est autorisé par le client à se faire verser directement par tout tiers les frais et dépens mis à la charge de ce tiers ainsi qu’à compenser la créance globale résultant des demandes de provisions et états émis tout au long de la mission avec les sommes récupérées contre un tiers.
Les présentes clauses sont réciproques mutatis mutandis.
7.D Assurance protection juridique
En cas de paiement des frais et honoraires par un assureur protection juridique, l’avocat ne s’engage pas à fixer ses honoraires et frais aux montants par prestation déterminés par le Roi en vertu de la loi du 22 avril 2019 visant à rendre plus accessible l’assurance protection juridique.
Si les frais et honoraires dépassaient ces montants et que l’assureur protection juridique refusait de les prendre en charge, la différence incomberait au client.
7.E Aide juridique
7.E.1 Information
Si le client est susceptible de bénéficier de l’aide juridique et/ou de
l’assistance judiciaire, il reconnaît en avoir été informé par l’avocat. Le client renonce expressément à s’en prévaloir, sauf au client le droit de la solliciter auprès du Bureau d’aide juridique compétent et de recueillir le consentement de l’avocat de poursuivre son intervention dans ce cadre.
7.E.2 Intervention dans le cadre de l’aide juridique
L’avocat ne sera tenu d’intervenir dans le cadre de l’aide juridique que s’il l’a expressément accepté. À défaut ou si les conditions ne sont pas réunies, nonobstant sa désignation par le Bureau d’aide juridique, l’avocat a droit au paiement de ses frais et honoraires.
Dans le respect de son indépendance, l’avocat pourra refuser ou cesser son intervention après en avoir averti le client, si le client ne collabore pas ou ne se présente pas.
7.E.3 Paiement des contributions et provision
L’avocat ne sera tenu d’intervenir et n’engagera sa responsabilité qu’à dater du paiement de la provision fixée par le Bureau d’aide juridique.
7.E.4 Conditions d’accès
Si l’avocat constate que le client n’est pas, plus ou n’a jamais été dans les conditions d’accès à l’aide juridique, il invite le client à dénoncer cette situation au Bureau d’aide juridique conformément à l’article 508/18 du Code judiciaire. Si le client n’y satisfait pas, l’avocat y pourvoit. En ce cas, les prestations déjà effectuées par l’avocat pendant la période non légalement couverte par l’aide juridique seront taxées au client conformément à la loi.
7.E.5 Application de l’article 508/20 du Code judiciaire
L’avocat a droit au paiement intégral de ses frais et honoraires (1) si une modification du patrimoine, des revenus ou des charges du bénéficiaire intervient qui rend le client en mesure de payer, (2) lorsque le justiciable a tiré profit de l’intervention de l’avocat de manière telle que si ce profit avait existé au jour de la demande, cette aide ne lui aurait pas été accordée ou (3) si l’aide a été accordée à la suite de fausses déclarations ou a été obtenue par d’autres moyens frauduleux ou (4) si l’aide est retirée.
7.F Indexation et imprévision
Tous les montants tarifaires sont sujets à indexation annuelle sur base de l’indice des prix à la consommation en Belgique.
En cas de modification substantielle du climat économique en cours de mission (ex. : variation de plus de 10 % du prix du pétrole, dévaluation de la monnaie) ou d’événement nouveau extérieur et imprévu, l’une ou l’autre partie pourra notifier à l’autre soit qu’il souhaite renégocier les conditions économiques du contrat, soit renoncer à la poursuite de la mission après ladite notification.
7.G Solidarité
En cas de pluralité de clients, il y a solidarité de la part des clients quant à la dette de débours, frais et honoraires due par les clients à l’avocat, de manière que chacun peut être contraint pour la totalité et que le payement fait par un seul libère les autres envers l’avocat. Il incombe aux clients de décider entre eux de la répartition de cette dette, sans préjudice de la solidarité décrite.
Article 8. Règlement des conflits
Lorsque le montant de l’état est expressément contesté, les parties peuvent recourir à une procédure de conciliation ou d’avis préalable auprès du conseil de l’Ordre.
À défaut et au choix de l’une ou l’autre partie, les tribunaux suivants seront compétents : soit ceux du domicile/siège du client, soit celui du cabinet de l’avocat. En cas de pluralité de compétences, les parties opteront pour la juridiction où la procédure est en langue française.
La loi belge est exclusivement applicable dans les relations avec le client, outre les règles déontologiques auxquelles l’avocat est tenu.
Article 9. Droit de rétractation
Dans certaines circonstances prévues par la loi, les consommateurs (au sens de l’article I.1.2° du Code de droit économique) peuvent exercer un droit de rétractation dans des conditions et des limites définies par la loi.
9.A Information sur la rétractation
À compter du jour de la conclusion du contrat, le client dispose d’un délai de 14 jours calendrier pour se rétracter par écrit du présent contrat sans pénalité(s) et sans indication de motif. Le droit de rétractation ne s’applique pas aux prestations déjà exécutées intégralement par l’avocat avant réception de la notification de rétractation.
9.B Annexes relatives à l’information concernant le droit de rétractation des consommateurs
9.B.1 Annexe 1re – Information standardisée
Droit de rétractation
Vous avez le droit de vous rétracter du présent contrat sans donner de motif dans un délai de quatorze jours.
Le délai de rétractation expire 14 jours après le jour de la conclusion du contrat.
Pour exercer le droit de rétractation, vous devez notifier à , , – , , votre décision de rétractation du présent contrat au moyen d’une déclaration dénuée d’ambiguïté (par exemple, lettre envoyée par la poste, télécopie ou courrier électronique). Vous pouvez utiliser le modèle de formulaire de rétractation mais ce n’est pas obligatoire.
Pour que le délai de rétractation soit respecté, il suffit que vous transmettiez votre communication relative à l’exercice du droit de rétractation avant l’expiration du délai de rétractation.
Effets de la rétractation
En cas de rétractation de votre part du présent contrat, nous vous rembourserons tous les paiements reçus de vous, y compris les frais de livraison (à l’exception des frais supplémentaires découlant du fait que vous avez choisi, le cas échéant, un mode de livraison autre que le mode moins coûteux de livraison standard proposé par nous) sans retard excessif et, en tout état de cause, au plus tard quatorze jours à compter du jour où nous sommes informés de votre décision de rétractation du présent contrat. Nous procéderons au remboursement en utilisant le même moyen de paiement que celui que vous aurez utilisé pour la transaction initiale, sauf si vous convenez expressément d’un moyen différent ; en tout état de cause, ce remboursement n’occasionnera pas de frais pour vous.
Le cas échéant, vous devrez renvoyer ou rendre le bien, à , , – , sans retard excessif et, en tout état de cause, au plus tard 14 jours après que vous aurez communiqué votre décision de rétractation du présent contrat. Ce délai est réputé respecté si vous renvoyez le bien avant l’expiration du délai de quatorze jours.
Si vous avez demandé de commencer la prestation de services pendant le délai de rétractation, vous devrez nous payer un montant proportionnel à ce qui vous a été fourni jusqu’au moment où vous nous avez informés de votre rétractation du présent contrat, par rapport à l’ensemble des prestations prévues par le contrat.
9.B.2 Annexe 2 – Modèle
(Veuillez compléter et renvoyer le présent formulaire uniquement si vous souhaitez vous rétracter du contrat.)
MODÈLE DE FORMULAIRE DE RÉTRACTATION
– À l’attention de , , – , :
– Je/Nous (*) vous notifie/notifions (*) par la présente ma/notre (*) rétractation du contrat portant sur la vente du bien (*)/pour la prestation de service (*) ci-dessous
– Commandé le (*)/reçu le (*)
– Nom du (des) consommateur(s)
– Adresse du (des) consommateur(s)
– Signature du (des) consommateur(s) (uniquement en cas de notification du présent formulaire sur papier)
– Date
_______
Note
(*) Biffez la mention inutile.
Article 10. Dispositions finales
Si tout ou partie du présent accord s’avérait invalide ou sans force juridique, les parties s’engagent à adapter les termes de la convention aux exigences légales afin d’obtenir le même effet ou l’effet le plus proche.
Certaines dispositions du présent contrat pourraient déroger au droit commun. Ces dérogations sont expressément consenties.
Les droits d’auteur sur le présent contrat appartiennent à l’avocat.